C'est grâce à "PHANTASMS OF THE LIVING” primé au PIFFF que Anaïs découvre le travail de Jean-Sébastien, un cinéma d'une rare beauté plastique, qui creuse le sillon d'une cinématographie à fleur de peau.  Elle lui propose alors de collaborer sur un autre court métrage et au fil des conversations naît l'idée du "Loup et la Chatte", œuvre sur le fil, teintée de mystère, explorant un tabou tout en évitant le scabreux. Le film bénéficie d'un pré-achat de France 2 et a notamment été sélectionné à Off-courts Trouville et pour le Prix Unifrance.